Le verdict est tombé comme un coup de massue pour le GFCA Volley. La DNACG (Direction nationale d’aide et de contrôle de gestion) a infligé au club ajaccien un retrait de trois points au classement ainsi qu’une amende de 9 000 euros. En cause, selon l’instance de contrôle : la consommation des fonds propres et l’absence de reconstitution engagée dès la saison précédente.
Une décision sévère, vécue comme un véritable choc. « Oui, c'est une décision incompréhensible, parce qu’on n’a pas de dette, on est à l’équilibre », réagit Paul Muracciole, président du GFCA Volley. « Les experts-comptables de la DNACG ont jugé sur les années d'avant. Ils ne nous ont demandé aucun élément depuis le 1er septembre, alors que les finances sont saines. »
Déjà sous surveillance depuis son retour au plus haut niveau, le club ajaccien avait été fortement pénalisé lors d’un précédent examen, avec une masse salariale strictement encadrée. Une contrainte qui l’avait obligé, juste avant le début de saison, à se séparer de son passeur Robin Neraudau. Cette fois, la sanction est encore plus lourde, avec des répercussions directes sur le classement.
« Sportivement, c'est un véritable coup de massue », poursuit le dirigeant. « Et financièrement, cette amende de 9 000 euros ne va évidemment pas améliorer notre situation. » Pour la DNACG, la ligne reste toutefois inflexible : la consommation d’une part importante des fonds propres impose la mise en place d’un fonds de réserve et le respect d’un tableau de marche strict en matière de rigueur budgétaire.
Paul Murracciole appelle à l'unité pour faire face
Face à ce qu’il considère comme une décision « totalement injuste », le GFCA ne compte pas en rester là. « On va faire appel et on va se battre encore plus », annonce Paul Muracciole, qui rappelle que peu de clubs évoluent aujourd’hui à l’équilibre dans un contexte marqué par la baisse des subventions publiques. « Il n’y a pas beaucoup de clubs qui sont à l’équilibre, et nous, nous le sommes », insiste-t-il.
Le président ajaccien lance enfin un appel à l’unité : « On appelle les collectivités, nos partenaires, ceux qui veulent le devenir, et bien sûr les supporters, à se mobiliser encore plus samedi contre Poitiers. » Une mobilisation jugée essentielle pour encaisser le choc et tenter de transformer cette épreuve en moteur collectif, sur et en dehors du terrain.
« Sportivement, c'est un véritable coup de massue », poursuit le dirigeant. « Et financièrement, cette amende de 9 000 euros ne va évidemment pas améliorer notre situation. » Pour la DNACG, la ligne reste toutefois inflexible : la consommation d’une part importante des fonds propres impose la mise en place d’un fonds de réserve et le respect d’un tableau de marche strict en matière de rigueur budgétaire.
Paul Murracciole appelle à l'unité pour faire face
Face à ce qu’il considère comme une décision « totalement injuste », le GFCA ne compte pas en rester là. « On va faire appel et on va se battre encore plus », annonce Paul Muracciole, qui rappelle que peu de clubs évoluent aujourd’hui à l’équilibre dans un contexte marqué par la baisse des subventions publiques. « Il n’y a pas beaucoup de clubs qui sont à l’équilibre, et nous, nous le sommes », insiste-t-il.
Le président ajaccien lance enfin un appel à l’unité : « On appelle les collectivités, nos partenaires, ceux qui veulent le devenir, et bien sûr les supporters, à se mobiliser encore plus samedi contre Poitiers. » Une mobilisation jugée essentielle pour encaisser le choc et tenter de transformer cette épreuve en moteur collectif, sur et en dehors du terrain.


