Une forte effervescence régnait hier du côté du Palatinu d’Ajaccio lors de la 20e édition du marché des jeunes de la ville. Organisée par le Centre Intercommunal d’Action sociale (CIAS), cette manifestation connait un succès grandissant auprès des jeunes de 10 à 18 ans. Plus de 300 stands garnis de jeux video, vêtements, jeux de société, et autres jouets ornaient les allées bondées du complexe ajaccien. L’occasion pour beaucoup de guetter des bonnes affaires avant la période de Noël.
« Je n’ai pas loupé une seule édition depuis dix ans ! Il y a vraiment de bonnes affaires si vous vous donnez la peine de parcourir tous les stands et de négocier auprès des jeunes. La date est idéale avant la période de Noël. Là, j’ai fait le plein, je pense qu’il va être temps de rentrer » sourit Davia, une jeune maman en sortant du Palatinu, les sacs remplis de jouets dont un bateau Playmobil flambant neuf, acheté à prix modique.
Il est vrai qu’en 20 ans, le marché des jeunes d’Ajaccio est devenu un évènement incontournable du mois de novembre, créé à l’origine pour fêter la journée des droits des enfants. Aujourd’hui, à l’initiative du Centre Intercommunal d’Action sociale de la Ville d’Ajaccio, ce sont chaque année 300 jeunes du territoire du Pays ajaccien de 10 à 18 ans, qui bénéficient d’un stand gratuit l’espace d’une journée afin de vendre leurs affaires personnelles pour en tirer de précieux euros avant les fêtes de fin d’année tout en permettant à des familles, de pouvoir en profiter pour faire eux aussi leurs courses de Noël à moindres frais. « Je n’en reviens pas, j’en suis déjà à plusieurs centaines d’euros alors que cela fait moins d’une heure que nous avons ouvert le stand », se réjouit Antoine, un collégien de 14 ans. Avec d’autres camarades et le soutien de sa professeur d’anglais, présents à leurs côtés, ils ont décidé de tenir un stand pour un but bien précis : financer une partie de leur voyage scolaire de fin d’année à Dublin, grâce au marché des jeunes. « C’est un projet qui nous tient à cœur, car nous sommes une classe anglophone. C’est une passion et un rêve qu’on espère réaliser et c’est pourquoi nous sommes là aujourd’hui. C’est très intéressant d’avoir un stand, nous apprenons plein de choses. Il faut apprendre à négocier et à fixer les bons prix. Nos articles partent très vite en cas ce matin (rires) ! ».
Cartes de Pokémon, jeux vidéo, vêtements, jeux de société, le tout en parfait état ! Les négociations ont rythmé la longue journée, agrémentées d’activités de loisirs pour les jeunes comme des initiations à l’escalade ainsi des défilés notamment de la légion du Cosplay ainsi qu’une grande tombola. Au total, 17 associations étaient mobilisées et représentées pendant la manifestation.
Il est vrai qu’en 20 ans, le marché des jeunes d’Ajaccio est devenu un évènement incontournable du mois de novembre, créé à l’origine pour fêter la journée des droits des enfants. Aujourd’hui, à l’initiative du Centre Intercommunal d’Action sociale de la Ville d’Ajaccio, ce sont chaque année 300 jeunes du territoire du Pays ajaccien de 10 à 18 ans, qui bénéficient d’un stand gratuit l’espace d’une journée afin de vendre leurs affaires personnelles pour en tirer de précieux euros avant les fêtes de fin d’année tout en permettant à des familles, de pouvoir en profiter pour faire eux aussi leurs courses de Noël à moindres frais. « Je n’en reviens pas, j’en suis déjà à plusieurs centaines d’euros alors que cela fait moins d’une heure que nous avons ouvert le stand », se réjouit Antoine, un collégien de 14 ans. Avec d’autres camarades et le soutien de sa professeur d’anglais, présents à leurs côtés, ils ont décidé de tenir un stand pour un but bien précis : financer une partie de leur voyage scolaire de fin d’année à Dublin, grâce au marché des jeunes. « C’est un projet qui nous tient à cœur, car nous sommes une classe anglophone. C’est une passion et un rêve qu’on espère réaliser et c’est pourquoi nous sommes là aujourd’hui. C’est très intéressant d’avoir un stand, nous apprenons plein de choses. Il faut apprendre à négocier et à fixer les bons prix. Nos articles partent très vite en cas ce matin (rires) ! ».
Cartes de Pokémon, jeux vidéo, vêtements, jeux de société, le tout en parfait état ! Les négociations ont rythmé la longue journée, agrémentées d’activités de loisirs pour les jeunes comme des initiations à l’escalade ainsi des défilés notamment de la légion du Cosplay ainsi qu’une grande tombola. Au total, 17 associations étaient mobilisées et représentées pendant la manifestation.
Une cinquantaine d’encadrants au four et au moulin
Un travail de longue haleine pour le personnel du CIAS, mobilisé pour l’occasion, avec l’aide également des personnels de la CAPA et de la Ville, soit une cinquantaine d’encadrants au total pour encadrer les 3 000 visiteurs, qui se sont succédé tout au long de la journée.
Parmi elles, Elsa Peter, Responsable des animations sportives et culturelles du CIAS-Leia, au four et au moulin, depuis plusieurs semaines maintenant : « C’est un travail de fourmi, il a fallu faire le tri dans les demandes. Nous avons essayé de faire plaisir au plus grand nombre, nous avons même des enfants qui viennent d’Olmeto. C’est une grande fête avant tout qui se veut conviviale même si l’objectif reste tout de même de vendre et de faire plaisir ! C’est un travail colossal, nous avons installé hier 150 tables et 300 chaises pour que le jeune n’ait plus rien à faire lorsqu’il vient prendre possession de son stand. Il y a 300 jeunes, mais également les parents, les grands-parents, les amis, qui viennent donner un coup de main. C’est un évènement intergénérationnel. Toute la famille s’y met pour les aider. À eux maintenant de bien négocier ! ».
Un travail de longue haleine pour le personnel du CIAS, mobilisé pour l’occasion, avec l’aide également des personnels de la CAPA et de la Ville, soit une cinquantaine d’encadrants au total pour encadrer les 3 000 visiteurs, qui se sont succédé tout au long de la journée.
Parmi elles, Elsa Peter, Responsable des animations sportives et culturelles du CIAS-Leia, au four et au moulin, depuis plusieurs semaines maintenant : « C’est un travail de fourmi, il a fallu faire le tri dans les demandes. Nous avons essayé de faire plaisir au plus grand nombre, nous avons même des enfants qui viennent d’Olmeto. C’est une grande fête avant tout qui se veut conviviale même si l’objectif reste tout de même de vendre et de faire plaisir ! C’est un travail colossal, nous avons installé hier 150 tables et 300 chaises pour que le jeune n’ait plus rien à faire lorsqu’il vient prendre possession de son stand. Il y a 300 jeunes, mais également les parents, les grands-parents, les amis, qui viennent donner un coup de main. C’est un évènement intergénérationnel. Toute la famille s’y met pour les aider. À eux maintenant de bien négocier ! ».
En cette période de précarité grandissante avec une inflation record notamment sur le prix des jouets, cette manière de consommer a trouvé un écho plus que favorable de la part des jeunes, mais également des nombreuses familles ajacciennes présentes dans les allées tout au long de la journée. Pour David Frau, Vice-Président du CIAS, « il y a évidemment un aspect économique dû à la situation actuelle, mais également un aspect écologique. Il y a une volonté évidente de recycler les jouets ou vêtements, et d’en faire profiter ceux qui en ont besoin, et de ne plus jeter à la poubelle, ce que l’on n’utilise plus. Le bilan de ce marché est encore extrêmement positif avec une fréquentation record. J’ai pu discuter avec les enfants, les parents et même si certains n’ont pas tout vendu, il y a des vocations commerciales qui sont nées hier ! Je tenais également à remercier les personnels et encadrants du CIAS, de la CAPA et de la Ville qui ont fait un travail formidable toute la journée ».