Après sa défaite 2-0 ce samedi à Montpellier, lors du troisième et dernier match consécutif à l’extérieur, les lacunes offensives bastiaises ont une nouvelle fois été mises en lumière. Le Sporting Club de Bastia s’apprête à retrouver ce mardi le stade Armand-Cesari et ses supporters pour affronter Rodez, avec le statut de lanterne rouge très peu convaincant.

Montpellier HSC 2-0 SC Bastia (réaction Tavenot) : après la défaite « Il faut être prêt à affronter "Furiani" »
Les matchs du SC Bastia se suivent et, malheureusement, se ressemblent. Le scénario semblait écrit d’avance, et la prestation au stade de la Mosson n’a pas fait exception. À Montpellier, deux buts sur coups de pied arrêtés ont été encaissés à la 10ᵉ et 18ᵉ minutes, favorisés par les excellents services de Téji Savanier et le mauvais marquage bastiais.
« Aujourd’hui, ça ne tourne pas. C’est une période difficile, et on paye cher chaque erreur », a indiqué, non sans regret, Benoît Tavenot, le coach bastiais, en conférence de presse d’après-match. Pour lui : « On a retrouvé des bonnes choses c’était un bon match de Ligue 2 avec du rythme. Mais il faut le faire sur dix matchs. On ne peut pas reprocher aux joueurs leur manque d’engagement. La réalité, c’est que sans Savanier, Montpellier ne marque jamais. Je suis déçu de ne pas avoir marqué ce petit but. » Le coach est également revenu sur la faute en limite de surface sur Zaouai, qui n’a pas été sifflée.
Certes, il y a peut-être eu du mieux dans le comportement des joueurs, mais pas toujours là où il le fallait, notamment en termes de réalisme et de concrétisation. Seulement deux buts en six journées pour des Bastiais qui n’ont pas encore goûté à la victoire : « On rentre un nombre incalculable de fois dans les 25 derniers mètres. Il nous manque de la qualité. On ne lâche pas nos frappes. Je préfère que le ballon parte au-dessus plutôt que dans les bras du gardien. »
Dernier de Ligue 2 avec deux points, le Sporting est désormais, selon Benoît Tavenot, « dos au mur » avant de retrouver Rodez à domicile ce mardi 23 septembre. Un retour à Furiani qui ne se fera pas sans pression : « Il faut être prêt à affronter Furiani. » Pour le coach : « Peu importe comment on gagne contre Rodez, mais il faut gagner ce match pour redonner un peu de baume au cœur à tout le monde. On n’a pas gagné depuis six matchs, c’est insuffisant. »
Le coach bastiais demande a ses joueurs de se lâcher.
Si l’entraîneur bastiais souhaite la victoire, il souhaite également retrouver son effectif complet, dont une bonne partie (Vincent, Parravicini, Etoga, Bonhert, Akueson) est actuellement à l’infirmerie. Cela justifie son onze de départ remanié face à Montpellier : « Ce sont des choix par rapport à l’enchaînement des matchs. Sinon, c’est impossible d’aligner l’équipe. Je les estimais aptes à répondre présents, ce qu’ils ont fait. Il faut récupérer tout le monde pour être compétitif. Il y a une ossature qui doit se dégager sur la durée. Aujourd’hui, nous n’avons pas pu compter sur notre effectif au complet… j’attends de voir ce que cela donnera avec tout le monde. ».
Les Turchini traversent une mauvaise passe. Prendra-t-elle fin avec une véritable prise de conscience ce mardi à Furiani ? Ou les prestations depuis le début de la saison masquent-elles le manque d’un véritable numéro neuf dans l’effectif ? Une partie de la réponse sera connue en début de semaine prochaine…
« Aujourd’hui, ça ne tourne pas. C’est une période difficile, et on paye cher chaque erreur », a indiqué, non sans regret, Benoît Tavenot, le coach bastiais, en conférence de presse d’après-match. Pour lui : « On a retrouvé des bonnes choses c’était un bon match de Ligue 2 avec du rythme. Mais il faut le faire sur dix matchs. On ne peut pas reprocher aux joueurs leur manque d’engagement. La réalité, c’est que sans Savanier, Montpellier ne marque jamais. Je suis déçu de ne pas avoir marqué ce petit but. » Le coach est également revenu sur la faute en limite de surface sur Zaouai, qui n’a pas été sifflée.
Certes, il y a peut-être eu du mieux dans le comportement des joueurs, mais pas toujours là où il le fallait, notamment en termes de réalisme et de concrétisation. Seulement deux buts en six journées pour des Bastiais qui n’ont pas encore goûté à la victoire : « On rentre un nombre incalculable de fois dans les 25 derniers mètres. Il nous manque de la qualité. On ne lâche pas nos frappes. Je préfère que le ballon parte au-dessus plutôt que dans les bras du gardien. »
Dernier de Ligue 2 avec deux points, le Sporting est désormais, selon Benoît Tavenot, « dos au mur » avant de retrouver Rodez à domicile ce mardi 23 septembre. Un retour à Furiani qui ne se fera pas sans pression : « Il faut être prêt à affronter Furiani. » Pour le coach : « Peu importe comment on gagne contre Rodez, mais il faut gagner ce match pour redonner un peu de baume au cœur à tout le monde. On n’a pas gagné depuis six matchs, c’est insuffisant. »
Le coach bastiais demande a ses joueurs de se lâcher.
Si l’entraîneur bastiais souhaite la victoire, il souhaite également retrouver son effectif complet, dont une bonne partie (Vincent, Parravicini, Etoga, Bonhert, Akueson) est actuellement à l’infirmerie. Cela justifie son onze de départ remanié face à Montpellier : « Ce sont des choix par rapport à l’enchaînement des matchs. Sinon, c’est impossible d’aligner l’équipe. Je les estimais aptes à répondre présents, ce qu’ils ont fait. Il faut récupérer tout le monde pour être compétitif. Il y a une ossature qui doit se dégager sur la durée. Aujourd’hui, nous n’avons pas pu compter sur notre effectif au complet… j’attends de voir ce que cela donnera avec tout le monde. ».
Les Turchini traversent une mauvaise passe. Prendra-t-elle fin avec une véritable prise de conscience ce mardi à Furiani ? Ou les prestations depuis le début de la saison masquent-elles le manque d’un véritable numéro neuf dans l’effectif ? Une partie de la réponse sera connue en début de semaine prochaine…