Chloé Aldrovandi, étudiante de 18 ans, a été tuée par balles le 15 février 2025 à Ponte-Leccia en Corse, probablement par erreur dans le cadre d'un règlement de comptes lié au crime organisé. Sa mort tragique a suscité une énorme émotion à travers toute l'île et même au-delà. Aujourd'hui un compte ouvert sur Instagram @ghjustizia_per_a_nostra_chloe_ rappelle à tous cette terrible tragédie…
Sur Instagram, le compte @ghjustizia_per_a_nostra_chloe_ est devenu, en quelques jours, un espace de recueillement. Créé il y a quelques jours, il rassemble, déjà, plus de 7 000 abonnés.
La page se présente comme une voix symbolique de la jeune victime :
« Je m’appelle Chloé Aldrovandi, j’ai 18 ans et je suis l’enfant de la Corse.
On me doit la justice et on me doit de ne pas m’oublier. »
Les quatre publications dévoilent des photos d’enfance, des moments de tendresse familiale, des sourires capturés avant le drame. On y lit l’attachement profond d’une famille, d’amis, et plus largement d’une communauté insulaire bouleversée par la disparition d’une jeune fille sans histoire.
Sans revendication politique ni discours militant, le compte se veut avant tout un hommage à la vie volée, un appel silencieux à la justice et à la mémoire.
Sous chaque image, les messages se multiplient : « forza », « ti penseremu sempre », « giustizia per te ».
Des mots simples, mais lourds de douleur et d’affection.
La page se présente comme une voix symbolique de la jeune victime :
« Je m’appelle Chloé Aldrovandi, j’ai 18 ans et je suis l’enfant de la Corse.
On me doit la justice et on me doit de ne pas m’oublier. »
Les quatre publications dévoilent des photos d’enfance, des moments de tendresse familiale, des sourires capturés avant le drame. On y lit l’attachement profond d’une famille, d’amis, et plus largement d’une communauté insulaire bouleversée par la disparition d’une jeune fille sans histoire.
Sans revendication politique ni discours militant, le compte se veut avant tout un hommage à la vie volée, un appel silencieux à la justice et à la mémoire.
Sous chaque image, les messages se multiplient : « forza », « ti penseremu sempre », « giustizia per te ».
Des mots simples, mais lourds de douleur et d’affection.


