Installée depuis 2010 sur l’avenue Xavier-Luciani, Julie Giacobbi dirige une boutique de prêt-à-porter et d’accessoires à l’enseigne « Les Frangines ». Mais pas seulement puisqu’elle propose également des créations originales et uniques de sacs confectionnés à partir de « laines » de récupération. Des modèles uniques aux formes diverses et colorés…
Sous les voûtes en pierres de taille, on pénètre l’ambiance feutrée et cosy de la boutique à l’enseigne « Les Frangines », sur l’avenue Xavier-Luciani à Corte. Sa propriétaire, Julie Giacobbi, nous accueille sourire aux lèvres parmi ses collections de vêtements et d’accessoires pour femmes. Une boutique qu’elle a ouverte le 18 mars 2010 : « Je l’ai appelée ainsi car j’avais 18 ans à l’époque et j’étais peu rompue à l’administratif. C’est ma sœur Pascale qui m’a formée et qui m’a aidée à créer l’entreprise en montant les dossiers ; elle m’accompagnait pour faire les collections. J’ai donc trouvé normal d’appeler ma boutique ainsi d’autant que nous avons toujours été très complices », explique Julie.
Et parmi ses collections, on découvre de magnifiques sacs minimalistes de toutes formes et couleurs, passant du noir à des camaïeux de jaune, bordeaux, rubis, orange, etc. propres à accessoiriser tant des basiques que des tenues de soirée, qui en mettent franchement plein la vue !
Des créations bien originales et donc des pièces uniques réalisées par Julie, au tout début, en dilettante, « pour le fun », rajoute la jeune femme. Un loisir qui est très vite devenu une passion lui ayant été transmise par sa tante Danielle : « Un jour, pour mon anniversaire, elle m’a offert une superbe robe qu’elle avait réalisée au crochet. Je suis tombée sous le charme et lui ai demandé de m’apprendre à travailler le crochet. Et de fil en aiguille, je me suis rendue sur les réseaux sociaux pour y suivre des tutos dédiés et me perfectionner ; J’ai commencé à chercher des points de vente pour le matériel, la mercerie de Corte, des autres points de vente insulaires ; et peu à peu au gré de l’inspiration du moment, mes premiers petits sacs ont vu le jour. Très appréciés de mes amies et de ma famille à qui je les offrais, autant surprises qu’enchantées par mes créations, elles m’ont très vite demandé des pièces particulières. Je me suis dit alors que je pourrais en proposer à la vente dans ma boutique », détaille Julie Giacobbi.
Pour réaliser ses sacs mendigote et Tote bag élégants, chics et colorés, la jeune créatrice utilise des pelotes spécialisées tout autant que d’autres matériaux recyclés, pailletés ou encore jean : « En effet, il s’agit de laine faite à partir de vêtement de récupération et j’utilise des crochets de 8, de 10 ou encore de 12 en fonction de l’épaisseur du sac. Je n’utilise pas de patron et je laisser aller mon imagination et mon feeling ». Elle crée ainsi des sacs à main, des sacs portés épaule, des sacs de plage qu’elle monte sur des structures métalliques pour les sacs « clic-clac » notamment, qu’elle se procure en mercerie. Laissant parler son humeur, elle les customise aussi de franges, très tendance.
« Ce genre de laine est onéreuse et je ne veux pas gagner d’argent sur les ventes. Je vends donc mes sacs à prix coûtant et je suis surtout fière de voir mes créations au bras de mes clientes », explique Julie. Mais c’est aussi pour elle une sorte de création-thérapie comme bon nombre d’activités lorsque ça canalise aussi l’angoisse ou le spleen : « Je suis assez anxieuse de nature, renchérit-elle en souriant, et je me suis rendue compte que le crochet y parvenait très bien. Sinon, je travaille sur mes petits sacs en particulier en été car ce sont des sacs très colorés pour les sorties ou la plage, et le temps s’y prête ; l’hiver, je les réalise uniquement sur commande et j’en crée avec des paillettes ou encore des strass ».
Les petits sacs-passion de Julie Giacobbi, irrésistibles, ont plus d’un tour dans leur sac et n’ont pas fini de nous étonner et de dire leur dernier mot, nous n’en doutons pas ! Une créatrice de plus dans le paysage insulaire dont les petites mendigotes auront bientôt leur signature !
Gilda Emmanuelli et Mario Grazi
Et parmi ses collections, on découvre de magnifiques sacs minimalistes de toutes formes et couleurs, passant du noir à des camaïeux de jaune, bordeaux, rubis, orange, etc. propres à accessoiriser tant des basiques que des tenues de soirée, qui en mettent franchement plein la vue !
Des créations bien originales et donc des pièces uniques réalisées par Julie, au tout début, en dilettante, « pour le fun », rajoute la jeune femme. Un loisir qui est très vite devenu une passion lui ayant été transmise par sa tante Danielle : « Un jour, pour mon anniversaire, elle m’a offert une superbe robe qu’elle avait réalisée au crochet. Je suis tombée sous le charme et lui ai demandé de m’apprendre à travailler le crochet. Et de fil en aiguille, je me suis rendue sur les réseaux sociaux pour y suivre des tutos dédiés et me perfectionner ; J’ai commencé à chercher des points de vente pour le matériel, la mercerie de Corte, des autres points de vente insulaires ; et peu à peu au gré de l’inspiration du moment, mes premiers petits sacs ont vu le jour. Très appréciés de mes amies et de ma famille à qui je les offrais, autant surprises qu’enchantées par mes créations, elles m’ont très vite demandé des pièces particulières. Je me suis dit alors que je pourrais en proposer à la vente dans ma boutique », détaille Julie Giacobbi.
Pour réaliser ses sacs mendigote et Tote bag élégants, chics et colorés, la jeune créatrice utilise des pelotes spécialisées tout autant que d’autres matériaux recyclés, pailletés ou encore jean : « En effet, il s’agit de laine faite à partir de vêtement de récupération et j’utilise des crochets de 8, de 10 ou encore de 12 en fonction de l’épaisseur du sac. Je n’utilise pas de patron et je laisser aller mon imagination et mon feeling ». Elle crée ainsi des sacs à main, des sacs portés épaule, des sacs de plage qu’elle monte sur des structures métalliques pour les sacs « clic-clac » notamment, qu’elle se procure en mercerie. Laissant parler son humeur, elle les customise aussi de franges, très tendance.
« Ce genre de laine est onéreuse et je ne veux pas gagner d’argent sur les ventes. Je vends donc mes sacs à prix coûtant et je suis surtout fière de voir mes créations au bras de mes clientes », explique Julie. Mais c’est aussi pour elle une sorte de création-thérapie comme bon nombre d’activités lorsque ça canalise aussi l’angoisse ou le spleen : « Je suis assez anxieuse de nature, renchérit-elle en souriant, et je me suis rendue compte que le crochet y parvenait très bien. Sinon, je travaille sur mes petits sacs en particulier en été car ce sont des sacs très colorés pour les sorties ou la plage, et le temps s’y prête ; l’hiver, je les réalise uniquement sur commande et j’en crée avec des paillettes ou encore des strass ».
Les petits sacs-passion de Julie Giacobbi, irrésistibles, ont plus d’un tour dans leur sac et n’ont pas fini de nous étonner et de dire leur dernier mot, nous n’en doutons pas ! Une créatrice de plus dans le paysage insulaire dont les petites mendigotes auront bientôt leur signature !
Gilda Emmanuelli et Mario Grazi



