Sur leur banc face à la mer, les anciens, "croqués" par Battì, refont le Sporting comme on feuillette un album d’or : Orlanducci, Marchioni, Krimau, Papi, Lacuesta… Une équipe qui faisait lever Furiani sans effort. Et quand l’un demande pourquoi Johnny Rep n'est pas compté, on comprend que la nostalgie joue encore mieux que le Sporting d’aujourd’hui, qui peine à retrouver ce parfum des grandes années.