La journée du 11 novembre a été marquée, comme chaque année, par une double cérémonie à San Martinu di Lota. La matinée a débuté par la messe célébrée par le père Paolo en l’église Saint-Martin, avant de se poursuivre devant le monument aux morts du village pour la commémoration du 107ᵉ anniversaire de l’Armistice de 1918, présidée par Marie-Hélène Padovani, maire de la commune.
Deux jours plus tôt, le dimanche 9 novembre, un repas nustrale avait réuni habitants et amis sur la place de l’église, prolongeant déjà l’esprit de convivialité propre à cette fête.
Ce mardi après-midi, après un moment de partage et d’amitié « Chez Henri », où les participants ont pu échanger souvenirs et anecdotes. c'est sous un soleil généreux, que s'est ébranlée la traditionnelle procession.
Elle a rassemblé les fidèles dans les rues du village. La statue de San Martinu, saint patron de la commune, a été portée autour de l’église paroissiale, selon la coutume, et aux quatre coins du village par les confrères de a Cunfraterna-Santa-Croce-di-San-Martinu, plusieurs confréries de la microrégion ont, également, participé à la célébration religieuse, donnant, au-delà de la messe de la matinée, à la cérémonie, présidée par père Paolo, une intensité et une ferveur toutes particulières.
Autrefois, rappellent les anciens, les sanmartinaghji avaient pour habitude d’aller « spigulà » le vin nouveau. Dans la vallée de Lota, on raconte encore qu’à la Saint-Martin, les goûteurs du vinu novu regagnaient souvent leurs pénates avec quelque peine, tant la fête était joyeuse et le vin généreux…
Mais ça, c'était avant…
Ce mardi après-midi, après un moment de partage et d’amitié « Chez Henri », où les participants ont pu échanger souvenirs et anecdotes. c'est sous un soleil généreux, que s'est ébranlée la traditionnelle procession.
Elle a rassemblé les fidèles dans les rues du village. La statue de San Martinu, saint patron de la commune, a été portée autour de l’église paroissiale, selon la coutume, et aux quatre coins du village par les confrères de a Cunfraterna-Santa-Croce-di-San-Martinu, plusieurs confréries de la microrégion ont, également, participé à la célébration religieuse, donnant, au-delà de la messe de la matinée, à la cérémonie, présidée par père Paolo, une intensité et une ferveur toutes particulières.
Autrefois, rappellent les anciens, les sanmartinaghji avaient pour habitude d’aller « spigulà » le vin nouveau. Dans la vallée de Lota, on raconte encore qu’à la Saint-Martin, les goûteurs du vinu novu regagnaient souvent leurs pénates avec quelque peine, tant la fête était joyeuse et le vin généreux…
Mais ça, c'était avant…



