Pierrot Fraymouth, dont le nom est lié à l'histoire du football bastiais et du Sporting club de Bastia, n'est plus .il s'est éteint ce lundi, plongeant dans la peine tous les membres de sa famille et tous ses nombreux amis de la vie de tous les jours et des terrains de football.
Au-delà de ses qualités de footballeur - il a été longtemps le gardien de l'équipe de troisième division du Sporting- mais aussi l'éducateur de centaines de jeunes bastiais, Pierrot était la joie de vivre même. On ne l'a jamais vu de mauvaise humeur ou ne jamais plaisanter dans la vie de tous les jours ou bien au travail durant tout le temps qu'il opéra à la Société Générale.
Pierrot c'était aussi un ami fidèle. Fidèle aux couleurs qu'il défendait. Fidèle à ses amis.
Au mois de juillet dernier, avant que la maladie ne le frappe, il avait tenu, avec beaucoup d'autres, à saluer un de ceux-là - Biagio Palazzolo en l'occurrence - qui revenu du Canada, le temps de quelques jours de vacances, ne l'avait plus vu depuis 59 ans.
À l'heure des agapes, Pierrot avait tenu à s'asseoir tout près de lui pour évoquer à ses côtés le Saint-Joseph de leur enfance. Mais aussi le football qu'ils avaient pratiqué en commun dans le quartier, au collège au-dessus ou bien encore à l'Étoile ou au Sporting.
Aujourd'hui, beaucoup de monde a du mal à réaliser qu'ils ne verront plus Pierrot sur le bord des terrains de foot. Qu'ils ne riront plus à ses facéties ! Qu'ils n'apprécieront plus sa bonne humeur permanente ! Sa joie de vivre.
Oui Bastia et son football sont dans la peine. Tous les anciens du Sporting, dont il était l'un des principaux animateurs, ceux qui l'ont connu et apprécié, sa famille, ses parents, ses proches, ses amis n'ont pas assez de mots pour dire combien cette disparition les attriste.
CNI présente à tous ceux que ce deuil cruel afflige l'expression de ses très sincères condoléances.
Ciao o Pè !
Pierrot c'était aussi un ami fidèle. Fidèle aux couleurs qu'il défendait. Fidèle à ses amis.
Au mois de juillet dernier, avant que la maladie ne le frappe, il avait tenu, avec beaucoup d'autres, à saluer un de ceux-là - Biagio Palazzolo en l'occurrence - qui revenu du Canada, le temps de quelques jours de vacances, ne l'avait plus vu depuis 59 ans.
À l'heure des agapes, Pierrot avait tenu à s'asseoir tout près de lui pour évoquer à ses côtés le Saint-Joseph de leur enfance. Mais aussi le football qu'ils avaient pratiqué en commun dans le quartier, au collège au-dessus ou bien encore à l'Étoile ou au Sporting.
Aujourd'hui, beaucoup de monde a du mal à réaliser qu'ils ne verront plus Pierrot sur le bord des terrains de foot. Qu'ils ne riront plus à ses facéties ! Qu'ils n'apprécieront plus sa bonne humeur permanente ! Sa joie de vivre.
Oui Bastia et son football sont dans la peine. Tous les anciens du Sporting, dont il était l'un des principaux animateurs, ceux qui l'ont connu et apprécié, sa famille, ses parents, ses proches, ses amis n'ont pas assez de mots pour dire combien cette disparition les attriste.
CNI présente à tous ceux que ce deuil cruel afflige l'expression de ses très sincères condoléances.
Ciao o Pè !