En visite à la fête du sport et des associations organisée par la ville, Stéphane Sbraggia, le maire d’Ajaccio, a évoqué la situation du Tennis Club du Casone, après les polémiques de l'été. Rouvert au public depuis le 1er septembre, le club, désormais géré par la municipalité, compte aujourd’hui près de 200 adhérents dont plus de 150 jeunes répartis au sein de l’école de tennis. Les travaux de remise à niveau des courts doivent débuter courant octobre.
Désormais géré par la Ville d’Ajaccio, les vieilles installations du Tennis Club du Casone vont bientôt faire peau neuve. Usée par le temps, l’installation sportive a reçu la visite de Stéphane Sbraggia, le maire d’Ajaccio, dans le cadre d’Associ In Festa, la fête du sport et des associations qui s’est tenue place du Casone samedi dernier. L’édile ajaccien s’est notamment félicité que le club ait pu rouvrir ses portes depuis le 1er septembre : « C’était une priorité ! Il était hors de question pour nous d’entamer cette rentrée en privant les passionnés du Tennis Club du Casone. Nous avions lancé une DSP qui s’est révélée infructueuse et nous n’avons pas trouvé d’accord avec l’association gestionnaire, même pour poursuivre l’activité de façon transitoire. Nous avons pu réagir rapidement grâce au service des sports de la ville. Nous avons des agents qui sont aptes à pouvoir encadrer et donner des cours. Nous avons pu rouvrir le 1er septembre et je suis ravi que les inscriptions aient connu un grand succès ».
Des travaux à hauteur de 800 000 € courant octobre
Depuis la réouverture, le club dirigé par Jean-Paul Stefani, accompagné de Gilles Ponzevera et Anthony Beuhorry, a enregistré près de 200 inscriptions dont 150 jeunes au sein de l’école de tennis. D’ici un mois, les installations vont connaitre d’importants travaux afin de redonner ses lettres de noblesses à ce club mythique de la cité impériale. « Ils vont commencer courant octobre, comme nous l’avions annoncé. C’est un projet de rénovation inscrit dans nos objectifs depuis plusieurs mois. Les budgets sont inscrits et mobilisés : ce sont près de 800 000 euros qui vont être investis pour la réfection globale des courts. L’idée, c’est de ne pas interrompre l’activité pendant ces travaux. On va donc les refaire 2 par 2 pour avoir un turn-over », souligne le maire. Un 4e professeur pourrait être recruté ces prochains jours face à la demande importante pour rejoindre la structure.
Interrogé concernant l’avenir de la structure, alors même que les deux derniers appels à DSP ont été jugées infructueuses, Stéphane Sbraggia n’a pas exclu de garder ce mode de fonctionnement municipal, dans les années à venir : « Si c’est le meilleur modèle, peut-être que cette installation restera finalement dans le giron municipal. On a vu dernièrement que notre municipalité était à enclin à récupérer et gérer ses équipements en direct. Avant, les collectivités avaient systématiquement recours aux DSP. Nous avons d’ailleurs lancé un appel d’offre pour une gestion par ce mode de fonctionnement sans recevoir de réponse conforme à nos demandes. Ce fonctionnement en régie correspond actuellement parfaitement à nos attentes en termes de service public du sport. Si c’est le modèle le plus adapté et le plus fonctionnel, on restera sur ce modèle ».
Des travaux à hauteur de 800 000 € courant octobre
Depuis la réouverture, le club dirigé par Jean-Paul Stefani, accompagné de Gilles Ponzevera et Anthony Beuhorry, a enregistré près de 200 inscriptions dont 150 jeunes au sein de l’école de tennis. D’ici un mois, les installations vont connaitre d’importants travaux afin de redonner ses lettres de noblesses à ce club mythique de la cité impériale. « Ils vont commencer courant octobre, comme nous l’avions annoncé. C’est un projet de rénovation inscrit dans nos objectifs depuis plusieurs mois. Les budgets sont inscrits et mobilisés : ce sont près de 800 000 euros qui vont être investis pour la réfection globale des courts. L’idée, c’est de ne pas interrompre l’activité pendant ces travaux. On va donc les refaire 2 par 2 pour avoir un turn-over », souligne le maire. Un 4e professeur pourrait être recruté ces prochains jours face à la demande importante pour rejoindre la structure.
Interrogé concernant l’avenir de la structure, alors même que les deux derniers appels à DSP ont été jugées infructueuses, Stéphane Sbraggia n’a pas exclu de garder ce mode de fonctionnement municipal, dans les années à venir : « Si c’est le meilleur modèle, peut-être que cette installation restera finalement dans le giron municipal. On a vu dernièrement que notre municipalité était à enclin à récupérer et gérer ses équipements en direct. Avant, les collectivités avaient systématiquement recours aux DSP. Nous avons d’ailleurs lancé un appel d’offre pour une gestion par ce mode de fonctionnement sans recevoir de réponse conforme à nos demandes. Ce fonctionnement en régie correspond actuellement parfaitement à nos attentes en termes de service public du sport. Si c’est le modèle le plus adapté et le plus fonctionnel, on restera sur ce modèle ».