Jeudi 15 mai, un Canadair de la Sécurité civile a été accidenté lors d’un exercice dans le golfe de Porto-Vecchio. L’appareil a finalement été remis à flot puis remorqué à terre ce lundi matin, au terme d’une opération d’envergure mobilisant de nombreux services de l’État
L’incident s’est produit jeudi en fin de matinée, aux alentours de 10 heures, alors qu’un Canadair participait à un exercice opérationnel dans le golfe de Porto-Vecchio. Lors d’une manœuvre, l’appareil a été endommagé en mer. Aussitôt, les secours ont été coordonnés par le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage en mer (CROSS MED), qui a porté assistance à l’équipage.
On sait comment sous l’autorité du préfet maritime de la Méditerranée et en lien étroit avec la direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des risques (DGSCGC), un vaste dispositif a été aussitôt activé afin de renflouer l'appareil.
Vendredi en fin de journée, après les premières actions menées par la cellule antipollution, les plongeurs-démineurs de la Marine nationale, les techniciens de la Sécurité civile et les experts du Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aéronautique d’État (BEAé), la situation était stabilisée. Aucune pollution ni risque immédiat de dégradation n’étaient relevé.
Durant le week-end, les équipes ont poursuivi les opérations en colmatant les brèches de la coque avec de la résine afin de rétablir son étanchéité. Une fenêtre météorologique favorable étant prévue lundi matin, les opérations de flottaison ont pu débuter comme prévu.
Ce lundi 19 mai, dès les premières heures, les plongeurs-démineurs ont installé les unités de relevage. Une fois l’étanchéité confirmée, le Canadair a été remis à flot. Après vérification de sa stabilité, il a été pris en remorque par la vedette de la SNSM de Porto-Vecchio, appuyée par des semi-rigides de la Marine nationale. L'appareil a ensuite été conduit jusqu’au port de commerce de Porto-Vecchio, où il a été gruté et mis en sécurité à terre, peu après 9 heures.
"Cette opération complexe, menée sans incident, illustre l’efficacité de la coordination entre les différents services mobilisés : Préfecture maritime, Sécurité civile, Service d’incendie et de secours de Corse-du-Sud (SIS 2A), Préfecture de Corse-du-Sud, État-major de la zone de défense Sud et Direction de la mer et du littoral" souligne dans un communiqué la préfecture maritime de la Méditerranée qui indique également que l’arrêté préfectoral "interdisant la navigation, le mouillage et la plongée sous-marine dans un rayon de 200 mètres autour de l’épave, pris pour sécuriser l’intervention", a été officiellement levé.
On sait comment sous l’autorité du préfet maritime de la Méditerranée et en lien étroit avec la direction générale de la Sécurité civile et de la gestion des risques (DGSCGC), un vaste dispositif a été aussitôt activé afin de renflouer l'appareil.
Vendredi en fin de journée, après les premières actions menées par la cellule antipollution, les plongeurs-démineurs de la Marine nationale, les techniciens de la Sécurité civile et les experts du Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aéronautique d’État (BEAé), la situation était stabilisée. Aucune pollution ni risque immédiat de dégradation n’étaient relevé.
Durant le week-end, les équipes ont poursuivi les opérations en colmatant les brèches de la coque avec de la résine afin de rétablir son étanchéité. Une fenêtre météorologique favorable étant prévue lundi matin, les opérations de flottaison ont pu débuter comme prévu.
Ce lundi 19 mai, dès les premières heures, les plongeurs-démineurs ont installé les unités de relevage. Une fois l’étanchéité confirmée, le Canadair a été remis à flot. Après vérification de sa stabilité, il a été pris en remorque par la vedette de la SNSM de Porto-Vecchio, appuyée par des semi-rigides de la Marine nationale. L'appareil a ensuite été conduit jusqu’au port de commerce de Porto-Vecchio, où il a été gruté et mis en sécurité à terre, peu après 9 heures.
"Cette opération complexe, menée sans incident, illustre l’efficacité de la coordination entre les différents services mobilisés : Préfecture maritime, Sécurité civile, Service d’incendie et de secours de Corse-du-Sud (SIS 2A), Préfecture de Corse-du-Sud, État-major de la zone de défense Sud et Direction de la mer et du littoral" souligne dans un communiqué la préfecture maritime de la Méditerranée qui indique également que l’arrêté préfectoral "interdisant la navigation, le mouillage et la plongée sous-marine dans un rayon de 200 mètres autour de l’épave, pris pour sécuriser l’intervention", a été officiellement levé.