Nouvelle défaite 2 à 0 ce mardi sur la pelouse de Nancy pour le Sporting Club de Bastia. Lanterne rouge de Ligue 2, les Bastiais sont la seule équipe du championnat à ne pas avoir gagné un seul match depuis le début de la saison. Avec seulement 4 points et 4 buts au compteur, le coach bastiais se trouve devant une équation impossible à résoudre, tandis que les renforts tardent à rejoindre le club.
« Il faut que je trouve un onze, et 18 joueurs. Aujourd’hui, c’est insuffisant en termes de rendu. » Après la septième défaite de la saison, ce mardi (2 à 0) face à l’AS Nancy-Lorraine, Benoît Tavenot, l’entraîneur du Sporting, met le doigt sur la très mauvaise passe que traverse le club. Les matchs se suivent, et les problèmes sur le terrain ne sont malheureusement toujours pas réglés, et ne semblent pas près de l’être : « On a reculé par rapport à ce qu’on avait fait à Troyes. Un match très pauvre techniquement, dans l’animation offensive. »
Aujourd’hui, la question est simple, et sur la place Saint-Nicolas, elle est clairement posée : où est passé le Sporting Club de Bastia ? Si le stade Armand-Cesari apparaît fièrement aux yeux des Bastiais, avec sa toiture fraîchement rénovée, les joueurs, eux, semblent avoir déserté le terrain. Du statut d’outsider en début de saison, les Bastiais ferment, après douze journées, la marche du championnat de Ligue 2, devenant le guichet automatique d’adversaires en quête de trois points. À l’image, bien triste, de la rencontre perdue 2 à 3 contre Rodez à domicile. Une dynamique qui, si elle ne change pas, conduira inéluctablement le club en National dès la saison prochaine. Les supporters bastiais n’avaient-ils pas affiché, la semaine passée, une banderole : « Projet National ? » ? Combien de temps encore cette Pax Romana va-t-elle durer ?
Si Benoît Tavenot veut vite se projeter sur le match contre Clermont, ce vendredi, et une victoire à tout prix afin de « retrouver une lueur d’espoir », la crise semble bien plus profonde : « On est dans le dur, le très dur », commente le coach bastiais après cette nouvelle défaite. Il y a les mots, le constat, les discours, mais in fine, ce qui compte sur un terrain de football, ce sont les actes.
Pour les supporters bastiais, la défaite n’est pas interdite quand il y a la manière et que les Lions de Furiani se battent avec honneur dans l’arène contre plus forts qu’eux. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas, dans un championnat de Ligue 2 où la grande majorité des équipes se valent et où certaines ne sont à peine mieux loties que les Bastiais.
Pourquoi les Turchini ratent-ils leur dernière passe, tremblent-ils devant les buts adverses, ne trouvent-ils personne au centre ? Pourquoi la défense commet-elle autant d’erreurs évitables ? Est-ce un problème de coaching ? De plan de jeu ? De joueurs ? De pression ? De recrutement ?
Sur ce dernier point, tous les observateurs du football sont unanimes : le Sporting manque d’un attaquant ou d’un milieu offensif capable d’apporter ce plus au jeu bastiais ce qui fait cruellement défaut au club. Le coach bastiais le répète en conférence de presse, mais pour l’instant : « On ne trouve pas ce qu’il faut », a encore expliqué Benoît Tavenot après la rencontre face à Nancy.
À l’approche de la trêve hivernale, la saison des Bastiais serait-elle déjà jouée ?
Aujourd’hui, la question est simple, et sur la place Saint-Nicolas, elle est clairement posée : où est passé le Sporting Club de Bastia ? Si le stade Armand-Cesari apparaît fièrement aux yeux des Bastiais, avec sa toiture fraîchement rénovée, les joueurs, eux, semblent avoir déserté le terrain. Du statut d’outsider en début de saison, les Bastiais ferment, après douze journées, la marche du championnat de Ligue 2, devenant le guichet automatique d’adversaires en quête de trois points. À l’image, bien triste, de la rencontre perdue 2 à 3 contre Rodez à domicile. Une dynamique qui, si elle ne change pas, conduira inéluctablement le club en National dès la saison prochaine. Les supporters bastiais n’avaient-ils pas affiché, la semaine passée, une banderole : « Projet National ? » ? Combien de temps encore cette Pax Romana va-t-elle durer ?
Si Benoît Tavenot veut vite se projeter sur le match contre Clermont, ce vendredi, et une victoire à tout prix afin de « retrouver une lueur d’espoir », la crise semble bien plus profonde : « On est dans le dur, le très dur », commente le coach bastiais après cette nouvelle défaite. Il y a les mots, le constat, les discours, mais in fine, ce qui compte sur un terrain de football, ce sont les actes.
Pour les supporters bastiais, la défaite n’est pas interdite quand il y a la manière et que les Lions de Furiani se battent avec honneur dans l’arène contre plus forts qu’eux. Aujourd’hui, ce n’est pas le cas, dans un championnat de Ligue 2 où la grande majorité des équipes se valent et où certaines ne sont à peine mieux loties que les Bastiais.
Pourquoi les Turchini ratent-ils leur dernière passe, tremblent-ils devant les buts adverses, ne trouvent-ils personne au centre ? Pourquoi la défense commet-elle autant d’erreurs évitables ? Est-ce un problème de coaching ? De plan de jeu ? De joueurs ? De pression ? De recrutement ?
Sur ce dernier point, tous les observateurs du football sont unanimes : le Sporting manque d’un attaquant ou d’un milieu offensif capable d’apporter ce plus au jeu bastiais ce qui fait cruellement défaut au club. Le coach bastiais le répète en conférence de presse, mais pour l’instant : « On ne trouve pas ce qu’il faut », a encore expliqué Benoît Tavenot après la rencontre face à Nancy.
À l’approche de la trêve hivernale, la saison des Bastiais serait-elle déjà jouée ?